Mamma Maria de serena Giuliano
"Mamma Maria"est le second roman de l'auteure. Je me suis lancée dans sa lecture en suivant les conseils de Petite_Lectrice qui avait beaucoup aimé son premier roman "Tchao Bella".
Dans ce roman, nous suivons la vie de deux femmes exceptionnelles, Maria et Sofia. Maria a la soixantaine et tient le bar du village. Elle en est le coeur. Elle a ses groupes d'habitués qui viennent jouer aux cartes, ceux qui viennent pour l'apéro, après le boulot... Quant à Sofia, elle est revenu dans ce beau village, celui de son enfance, depuis 3 mois après avoir passé quelques temps à Paris. Suite à une déconvenue amoureuse, l'appel du pays a été plus fort et la jeune traductrice de roman a trouver refuge dans son village natal.
Ces deux femmes d'exceptions animent ce village qu'elles chérissent tant. Sofia va venir en aide à des personnes dans le besoin, luttant contre les préjugés et la haine de certaines personnes. Maria, quant à elle, fait face à la vie et est une personne aimante au soutien sans faille pour son entourage.
Au moment où j'écris cette chronique, je viens juste de refermer ce livre. Je l'ai lu d'une seule traite. J'ai adoré! Je suis partie pendant 3 heures en Italie. J'ai rencontré Sofia, Maria, Franco et les autres. C'était doux, rafraichissant et positif. Ce livre est une bouffée d'amour, de tendresse et d'espoir. Lisez-le, offrez-le, partagez-le!!
Je pense que je vais aller acheter très rapidement "Tchao Bella" pour replonger dans l'univers de l'auteure.
Synopsis
" Ciao, Sofia, qu'est-ce que je te sers ? Comme d'habitude ? Et j'ajoute un cornetto, parce qu'il faut manger, ma fille !
– Oui, merci, Maria. "
Je m'installe en terrasse, face à la mer, comme chaque matin depuis que je suis de retour en Italie. J'aime bien travailler au son des tasses qui s'entrechoquent. Et, au Mamma Maria, j'ai toujours de la compagnie. Il y a ceux qui viennent tuer le temps. Il y a les enfants qui rêvent devant le comptoir à glaces. Il y a les ados qui sirotent un soda, monsieur le curé, et, surtout, mes partenaires de scopa.
Ici, on vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude ou écouter Celentano. Moi, je viens pour me persuader que j'ai bien fait de quitter Paris... et l'autre abruti.
Il fait quand même meilleur ici.
Et puis, on cherche aussi à profiter de la bonne humeur (ou non) de Maria, qui mène, comme une mamma, tout ce petit monde à la baguette.
Bref, j'ai enfin retrouvé mon village paisible.
Enfin, paisible jusqu'au jour où...